Bonsoir, tout d'abord je tiens à m'excuser pour cette longue période sans publication, c'est un peu tendu en ce moment j'ai du mal à trouver le temps mais j'espère que ce soir je ne vous déceverai pas. Bien que ce soit un sujet peut être plus contesté et risqué que le précédent, pour moi il est primordial et touche tout les lecteurs, il touche une nation entière. 

A l'heure où le match retour de la France contre l'Ukraine approche (dans 2h30), notre équipe fait parler d'elle depuis quelques jours. Et généralement, pas en bien. Certains disent que les footeux n'ont aucun mérite, sont juste avides d'argent et non de victoire. Je ne vais pas m'étaler sur le sujet du salaire des footballeurs, ce ne sont pas des voleurs, cet argent c'est eux qui l'amènent grâce à la médiatisation et la popularité de ce sport même si je ne suis pas pour le système économique des clubs, celà gache d'après moi la beauté et l'humilité du sport... Mais bref ce n'est pas le sujet, ils sont nuls et ils vont perdre, c'est peine perdue. On dit aussi que ce n'est pas important, inutile, qu'"on s'en fout",  vu la période que nous vivons, il y a d'autres problèmes à traiter. Celà doit être une des plus grosses blagues que je n'ai jamais entendue. 

Premièrement que ce soit clair sur le mérite d'un sportif, les professionnels du "ils sont payés pour tapper dans un ballon" ne connaissent visiblement pas du tout le sport de haut niveau. Le sport de haut niveau c'est une lutte continue, c'est dur, très dur. Il y a autant de mérite à s'entrainer pour concrétiser en match ou en compétition qu'étudier pour exercer son futur métier. Un sportif de haut niveau, ce n'est pas un chanceux, ce n'est pas "il a la chance d'être bon au foot et il est riche", c'est quelqu'un qui se bat, qui souffre, mais qui ne renonce jamais. De plus, je tiens à préciser que la plupart des sports sont ingrats, on a beau s'entrainer 14h-20h par semaine, on gagne à peine de quoi vivre, alors c'est aussi beaucoup de sacrifice, mais c'est un espoir nourrit par la confiance et la détermination. Que l'intelligence ou les les capacités physiques se développent, c'est exactement le même travail. Alors là, vous allez me dire "Oui mais le sport ce n'est pas un métier, c'est du divertissement". 
Et bien je vous répondrais clairement, assurément et fièrement que vous avez tort. Je vous ai parlé de détermination, confiance, j'y ajoute la solidarité, la loyauté, tant de valeurs qui sont enseignées par le sport. On en conclut donc que le sport a le même rôle que les livres : inculquer des valeurs. De plus, dans le sport on oppose des nations, nous sommes donc représentés, ainsi on peut dire quel'Equipe de France c'est le peuple. Nous nous devons de croire en eux car ils ont besoins de nous. Peu importe le sport. Ainsi, on donnerait à Nation le synonyme Equipe. Une équipe se doit d'être unie, solidaire pour gagner. La France doit faire de même. Imaginez, si nous sommes capables de nous souder pour le sport, nous le serons pour d'autres combats jugés plus importants et celà aurait une conséquence radicale sur le moral des français et sa condition financière, économique, culturelle, etc. De plus, n'oublions pas la notion de fair play dans le sport qui est universelle : si il y a la paix entre les équipes, on peut croire à  la paix dans le monde. Celà parait simple? Ca l'est. J'applique là le même raisonnement que les Lumières : on peut croire à un "monde parfait" en diffusant les connaissances, les valeurs, seulement le mode de diffusion est différent et il a également un aspect psychologique propre au sport. Bien-sûr, au final ce fut la grande désillusion au XXe siècle lorsque l'Homme utilisa ses connaissances pour s'entretuer mais ce n'est pas pour autant qu'il ne faut pas croire à un monde meilleur, de paix. Je ne parle pas là d'Utopie, mais si on n'essaye pas on a déjà perdu. 

Bien sûr, tous les sportifs doivent en être conscients (et c'est peut etre le problème ajourd'hui...), nous avons besoin d'un président compétant en plus d'un peuple unis et continuer à diffuser les connaissances, la culture, etc... Seulement, il faut comprendre que chacun fait son travail, le président préside, les sportifs s'entrainent, les artistes s'expriment, etc. (On peut en faire beaucoup comme ça:p). Et ensuite, l'union fait la force.

Je vous remercie d'avoir lu mon article, n'hésitez pas à commenter, critiquer, etc. Ce sont les premières idées qui sont nées entièrement de ma propre réflexion, ce n'est pas à l'école que j'apprendrais ça alors j'espère que vous allez apprécier ! Personnellement je suis français et dans n'importe quel sport je supporte la France (logique non?) et je trouve que c'est trop facile de cracher sur l'Equipe de France même s'il est clair qu'il y a quelques points à revoir pour en faire une si fière "Equipe de France". Si ce soir on perd, ce n'est pas grave, mais il faut nous reconstruir, savoir rebondir, surtout comprendre ce principe que j'ai développé et avoir confiance. Le sport c'est aussi la défaite, alors c'est trop facile de crier sur tous les toits "la France ils sont pourris" "ils vont encore perdre ils savent faire que ça" et je passe les commentaires plus insultants. Il y a également des racistes qui contestent cette équipe de France car il y a trop de noirs et d'arabes de la cité; mais le sport c'est pour eux (les sportifs d'un niveau social bas) un éxutoire, un moyen de ne pas tomber dans la délinquance, comme la musique ou la littérature (vous voyez, encore des similitudes). Et nos équipes de France sont surtout un symbole. Un symbole de diversité et d'égalité.   Merci à tous, à bientot !

Bonsoir, alors tout d'abord ne vous attendez pas à un cours d'historien, je ne le suis point. Je suis un simple élève en 1ereS et témoigne de ce que la culture, tout du moins, le bout de culture que je détiens, emmagasiné (c'est un mot bien fort par rapport à mon niveau culturel ahah)  "tout au long de ma scolarisation" peut m'apporter, et donc nous apporter, à nous tous.  Bon, vous savez tous qu'à l'époque l'Eglise avait une importance bien plus importante que de nos jours, de ce fait toute notre civilisation s'est construite autour de l'Eglise catholique. Tout à l'heure, lorsque j'étais à table avec ma famille, mon beau père racontait le témoignage d'une africaine qui expliquait son point de vue sur la polygamie. Elle disait, grosso modo, que peu importe le nombre de femmes avec lesquelles son mari couche, le plus important est qu'elle soit la seule qu'il aime. Cet aspect n'est donc pas un problème pour eux, du tout, c'est normal. Et voilà ensuite la réaction de ma soeur horrifiée "aaah mais c'est n'importe quoi, c'est qu'elle ne l'aime pas alors c'est pas possible elle peut pas dire ça sinon, c'est pas un vrai amour". Et là ça devient intéressant, mon beau père dit : "c'est vrai que nous catholiques on a du mal à cautionner celà, c'est tout à fait contraire à ce que prône notre religion [...]". Ma soeur répond alors que cela a rien à voir avec la religion, elle pourtant n'est pas catholique mais n'adhère pas aux propos de cette africaine. Et c'est là que j'ai tout compris, tout. A vrai dire, je suis baptisé mais pas vraiment croyant et pratiquant non plus mais là je viens de réaliser, peut etre tardivement certes, l'importance de la religion dans notre société. En effet comme expliqué avant notre civilisation s'est construite, de puis des siècles et des siècles, autour de la religion catholique. Les idées, les valeurs sont basées sur les fameux dix commadements dont "tu ne commeteras pas d'adultère" d'ailleurs et c'est clairement ce qui fait notre civilisation, notre société, qu'on le veuille ou non, qu'on le sache ou non, le monde d'aujourd'hui découle de la société d'hier, dominée par la religion. Alors ne serait-ce pas une erreur d'oublier ce qui nous a construit?
Revenons en à la polygamie. Criticable? Peut-on se permettre de critiquer, juger, une culture, une éthnie possédant un passé, une histoire complétement différente de la notre? 
Ce que cette femme dit, c'est qu'ils différencient juste le sexe et l'amour. 
Je pense qu'il y a un principe fondamental commun à toutes nos cultures, le respect de l'Homme. Il implique de vivre en communauté. A partir de là tout est possible, on peut accepter la différence, la comprendre, et même l'aimer.